sábado, 29 de noviembre de 2008

métaphysique des tubes (francés)


Les jours se passent lentement, un à un, de manière silencieuse mais inclémente. Le temps me dévore sans pitié, j’ai quatre ans. Peu à peu, la routine s'empare de tout. La monotonie, sans doute, est un additif nécessaire dans notre vie. La périodicité de chaque acte que nous réalisons nous permettre d’assimiler que même si nous répétons mille fois une action, nous ne serons jamais capables d'atteindre la perfection. En même temps, je comprends que la vie manque de sens si nous ne détruisons pas la vie des autres et si nous ne laissons pas les autres détruire notre vie.
Bangladesh, une grosse extension de terre avec rien dans son intérieur. Je trouve, curieusement, certaine similitude entre l’aridité de ce pays et la stérilité de ma vie. Ma famille continue avec ses travails diplomatiques. Maintenant, un nouveau problème envahit ma vie : l’école. Les professeurs et son autorité ne font plus que réprimer ma liberté et accentuer mon esprit anarchiste. Les petites enfants avec ses voix aiguës et gênantes me mettent en fureur. Parfois, je perds le contrôle. Parfois, je souhaite tuer le monde entier. L’unique sortie que j’ai est la littérature de Mishima, Proust et Kafka. Parfois, je commence à aimer la crudité de la vie.
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1 comentario:

daniel cevallos II (nombre artístico) dijo...

¡¡¡FRANCÉS!!!
No pues, que pasó, ni el español puedo muy bien